- Beowulf -

Scénario : que dire... Histoire de Viking et de dragons, digne d'un Heroic-fantasy... Bien, mais ce scénario ne m'a pas plus attiré que cela...
Casting : on y voit, tout en image numérique, Ray Winstone (Retour à Cold Mountain, Les infiltrés, Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal), la belle Angelina Jolie (Taking lives, Tomb raider, Mr and Mrs Smith), ainsi que le grand Anthony Hopkins (Le silence des agneaux, rencontre avec Joe Black, La faille) et John Malkovich (Les ailes de l'enfer, Dans la peau de John Malkovich, L'homme au masque de fer).
Bande-son : Bien, ça ne casse trois pattes à un canard...
Ma critique : je voulais voir ce film avant tout parce que c'est un film d'animation, et parce que j'adore cette nouvelle technologie. Tout comme le Pôle Express, il est merveilleusement fait. Les personnages sont ressemblant et très réalistes. Ce nouveau système de "motion capture" est vraiment révolutionnaire ! Mais sinon, à part ça, ce film ne m'a pas plus enchanté que ça... Je n'ai pas été émue, je n'ai pas ris... J'ai juste été surprise et frapper par la beauté des personnage de Ray Winstone (Beowulf) et Angelina Jolie (mère de Grendel)


Synopsis :
En ces temps lointains, les sauvages contrées du Nord de l'Europe étaient peuplées de héros et de monstres, et des hommes audacieux, taillés pour la lutte et les conquêtes, pouvaient encore se forger des destins d'exception.
Le plus glorieux d'entre ces aventuriers fut le Viking Beowulf, qui surgit un beau jour pour sauver le vieux roi Hrothgar et ses sujets des assauts d'une féroce créature. Son nom devint vite légendaire à travers le royaume et, partout, l'on chanta sa bravoure face au maléfique Grendel.
Beowulf ne devint pas seulement célèbre, mais riche. Et avec la richesse vinrent bientôt de dangereuses tentations et une inextinguible soif de pouvoir. Car le héros était aussi humain, trop humain, sans doute, et le guerrier plus avide, plus ambitieux et bien plus faillible qu'on ne l'imaginait...